Il y a des douleurs sans mots. Des blocages invisibles. Des tensions qui reviennent, sans raison apparente. Le corps parle une langue qu’on a parfois désapprise.
Dans l’accompagnement thérapeutique, il est essentiel de redonner une place au corps. Non pas en l’analysant, mais en l’écoutant. En ralentissant, en respirant, en observant ce qui se passe quand on cesse de vouloir contrôler.
Le corps, par ses sensations, nous raconte ce que l’histoire ne dit pas. Il garde les traces, mais aussi les ressources. Lui donner la parole, c’est commencer à se réconcilier avec soi.